Ce qui transforme un terrain, c’est une stratégie claire et la constance qui l’accompagne.

FIV, embryon parfait..et pourtant toujours pas enceinte

2 Oct 2025 | Fertilité

Dernière mise à jour le : 2 octobre 2025
Femme d’environ 35 ans regardant fixement, symbolisant l’incompréhension après un échec de FIV malgré un embryon parfait

Un échec de FIV malgré un embryon parfait.
Voilà ce que vivent de nombreuses femmes, sans explication valable, et souvent sans autre réponse que : “On recommence.”

Pourtant, même lorsqu’un embryon est classé “top qualité”, le taux de grossesse reste inférieur à 30 %.
C’est ce que rappelle le site Fiv.fr. Et c’est ce que je constate chaque semaine en cabinet.

Embryon euploïde. Endomètre idéal. Protocole suivi à la lettre.
Et malgré tout… toujours pas de grossesse. Encore une prise de sang négative. Encore cette impression d’être hors norme sans explication.

Alors, à quel moment arrête-t-on d’incriminer le hasard, pour enfin revoir la méthode ?
Pas une méthode miracle. Une méthode clinique, structurée, incarnée.
Une méthode qui lit ce que les bilans ne disent pas.

Échec FIV malgré embryon parfait : ce que les bilans ne montrent pas

Vous avez vécu un échec de FIV malgré un embryon parfait ?
Vous n’êtes pas seule, et non, ce n’est pas un simple “manque de chance”.
Dans mon cabinet, je vois chaque semaine des femmes en parcours PMA pour qui le protocole semble irréprochable… mais qui ne tombent toujours pas enceintes.
Ici, je vous explique ce que les bilans ne montrent pas, ce que votre corps tente de signaler, et pourquoi une autre lecture clinique peut tout changer.

Embryon euploïde. Endomètre à 8,2 mm. Taux d’estradiol bien monté. Progestérone mesurée. Transfert placé au bon moment.

C’est un scénario que je vois très souvent. Et pourtant, la prise de sang est négative. Encore.

“Je ne comprends pas. Tout était bon. Et encore un test négatif.”

Ce n’est pas une exception.
Ce n’est même plus un cas “particulier”.
C’est ce que vivent des centaines de femmes chaque mois, en ayant tout bien fait, en ayant tout suivi, et surtout… en ayant cru que c’était la bonne.

Ce que la plupart ne savent pas, c’est qu’un embryon considéré comme parfait n’implante que dans 30 à 35 % des cas.
Et que ce taux descend encore si le terrain autour est fragilisé, même sans symptôme, même sans alerte.

En cabinet, je reçois des femmes qui n’ont plus besoin d’une nouvelle tentative.
Elles ont besoin qu’on relise l’ensemble de leur système, pas qu’on ajoute une case à cocher.
Parce que ce n’est pas le protocole qui a échoué.
C’est le cadre d’analyse, trop partiel, trop médical, pas assez intelligent.

➤ Ce type d’échec n’appelle pas plus d’effort. Il appelle une méthode.
Commencez par calculer votre phase lutéale réelle ici.
Ce que vous découvrirez est parfois plus instructif qu’un 3e protocole.

➤ Et si ce que vous attendiez n’était pas une autre tentative, mais un autre cadre ?
Fertilinat n’est pas un énième accompagnement : c’est une méthode clinique pensée pour les femmes qui ont déjà tout essayé, et qui refusent d’être cataloguées comme “cas inexpliqué”.

Femme dans la trentaine, regard lucide et tendu, illustrant l’incompréhension après un échec de FIV malgré un embryon parfait

Ces zones grises, je les retrouve systématiquement chez les femmes qui viennent me voir après un échec de FIV malgré un embryon parfait.

Leur dossier est souvent irréprochable. Le protocole a été respecté à la lettre. Et pourtant, leur corps semble répondre par le vide.

Alors on reprend tout. Pas pour chercher ce qui cloche.
Mais pour voir ce qui a été mal lu. Ou pas regardé du tout.

Une ovulation mal calée… malgré le pic LH

Le pic LH est souvent présenté comme le repère ultime : “Vous avez bien ovulé, donc la progestérone est censée suivre.”
Sauf que le corps ne fonctionne pas comme un tableur.

Je vois des femmes qui ovulent “trop tard” pour le cycle médical, ou de manière trop discrète pour que le timing tienne.

Et dans ces cas, le dosage de progestérone en J+7 devient un faux repère.
La phase lutéale est mal mesurée, parfois mal enclenchée – et rien ne l’indique sur les bilans classiques.

→ Lire les signes d’une ovulation de mauvaise qualité

Une fenêtre d’implantation décalée… mais jamais recalée

C’est l’un des angles morts les plus fréquents :
Le transfert est programmé sur un cycle artificiel, en décalage total avec votre ovulation réelle.
Et pourtant, tout semble parfaitement “calé” sur le papier.

Mais si la phase lutéale est démarrée trop tôt ou trop tard, l’embryon arrive dans un terrain qui n’est plus réceptif.

→ Vérifier votre fenêtre d’implantation réelle grâce à cet outil

Une progestérone fragile… sous les radars

On me dit souvent : “Ma progestérone était bonne.”
Mais à quel moment a-t-elle été mesurée ? J21 par habitude ? En J+7 mal estimé ? Au bon moment, mais sur un cycle désynchronisé ?

Un taux “bon” n’est pas la garantie d’un soutien suffisant.
Et une phase lutéale écourtée peut rendre l’endomètre moins réactif, sans que rien ne soit visible au microscope.

→ Comprendre la vraie valeur du dosage de progestérone

Un terrain inflammatoire… qu’on ne regarde pas

Vous n’avez pas de douleur, pas de saignement, pas de symptômes alarmants.
Mais votre terrain, lui, dit autre chose.

Endométrite silencieuse, microbiote déséquilibré, CRP modérément élevée, Hashimoto non pris en compte.
Autant de signaux ignorés, qui rendent l’environnement peu compatible avec l’implantation.

→ En savoir plus sur l’endométrite chronique
→ Le rôle du microbiote vaginal dans la fertilité
→ Thyroïde, Hashimoto et chances de grossesse

Une autre lecture est possible

Si vos bilans sont toujours “bons” mais que rien ne fonctionne, ce n’est pas votre volonté qui manque.
C’est peut-être le cadre de lecture qui est trop étroit.

Je propose un bilan stratégique de fertilité personnalisé : une relecture clinique complète, pensée pour croiser les signaux faibles et réorganiser ce qui est encore incohérent.
Ce n’est pas un bilan de plus.
C’est la mise en système de ce que vous avez accumulé sans cohérence.

Ce que dit le protocole VS ce que je constate en cabinet

Ce n’est pas une question de « manquer quelque chose », mais de relire autrement ce que tout le monde regarde déjà.

Ce que dit le protocole médical Ce que je constate en cabinet
Progestérone > 10 ng/mL = bon Dosée trop tôt ou trop tard → phase lutéale mal calée
Endomètre > 7 mm = réceptif Épaisseur correcte, mais terrain inflammatoire / vascularisation médiocre
Embryon “top qualité” Nidation impossible car fenêtre d’implantation décalée
Cycle substitué bien mené Aucun repère sur l’ovulation réelle ni sur la glaire
TSH “dans la norme” Hashimoto actif (TPO élevées) non pris en charge
Pas de douleur = pas de pathologie Endométrite silencieuse / inflammation de bas grade
Pas de cause identifiée = “inexpliqué” Signaux croisés non lus ensemble (hormonal, thyroïde, microbiote…)

En clair : rien ne manque dans vos bilans, c’est leur lecture globale qui change les résultats.

Ce que j’observe quand on relit le terrain autrement

Diana, 35 ans.
Trois FIV.
Des embryons classés A à chaque tentative.
Un endomètre toujours >8 mm.
Et jamais de test positif.

Elle est arrivée au cabinet épuisée, mais avec encore une lueur d’analyse dans le regard.
Elle me dit : “Tout le monde m’a dit que c’était parfait. Je ne comprends pas ce qu’il faut de plus.”

Alors on a repris, pas pour ajouter un énième complément, mais pour recadrer les fondations.

→ Progestérone dosée trop tard.
→ Inflammation ignorée (CRP à 7, glaire absente).
→ TSH normale, mais Hashimoto actif.

En quatre mois, on a :

  • recalibré ses cycles selon son ovulation réelle,
  • soutenu la phase lutéale au bon moment,
  • réduit l’inflammation digestive et immunitaire,
  • modifié le protocole de complémentation.

Elle est tombée enceinte naturellement, sans transfert supplémentaire, six mois plus tard.

Ce n’est pas un miracle.
C’est une méthode clinique rigoureuse, qui croise les signaux et redonne au corps ses repères.
Quand on arrête d’ajuster un détail et qu’on relit l’ensemble du système, les résultats changent.

Fertilinat, c’est ce cadre stratégique pour les femmes trop souvent laissées dans le flou.
Pas un accompagnement “de plus”.
Une direction.

Vous êtes dans ce cas ? Voici mes recommandations concrètes

Si vous avez reconnu votre parcours dans ce qui précède, voici ce que je vous recommande pour poser des bases solides, avant toute nouvelle tentative.
Pas pour espérer plus fort. Pour agir différemment.

1. Ne tirez pas de conclusion sur un seul cycle

Un cycle, ce n’est pas une preuve.
C’est une photographie parmi d’autres. Et parfois, les cycles FIV sont tellement modifiés qu’ils écrasent des signaux clés : glaire absente, ovulation silencieuse, inflammation jamais identifiée.

Si vous n’avez analysé qu’un seul cycle, ou uniquement sous hormone, vous n’avez pas encore les vraies données.

Calculez votre phase lutéale réelle

C’est souvent le point de bascule.
Pas besoin de microscope, de test onéreux ou de centre spécialisé.
Juste une lecture fine, à partir de votre ovulation réelle.

Si ce n’est pas encore fait, le calcul de votre phase lutéale est un bon point de départ.
Accéder au calculateur ici

3. Faites relire vos bilans autrement

Je ne vous parle pas d’ajouter de nouveaux tests.
Je parle de relecture croisée, à partir des bons repères et du bon timing.

Quelques exemples concrets que je vois chaque semaine :

  • Progestérone dosée en J21… mais ovulation à J19
  • Glaire absente = alerte inflammatoire ignorée
  • TSH “normale”, mais anticorps élevés, terrain Hashimoto actif

C’est à ce niveau de finesse que le changement devient possible.

« Tout est normal »… sauf le résultat. On arrête là.

Bilans corrects. Embryons classés A. Endomètre “parfait”. Et pourtant, test négatif. Ce n’est ni un manque d’effort, ni de patience. C’est un problème de lecture.

Fertilinat est un cadre clinique exigeant pour femmes en PMA +35 ans : ovulation réelle, phase lutéale, progestérone au bon moment, microbiote, inflammation, Hashimoto…
On ne rajoute pas des essais. On recale le système.

Si vous refusez de « réessayer » sans comprendre, et que vous êtes prête à une démarche structurée, déposez votre candidature. Je lis chaque dossier moi‑même et je vous réponds si nous pouvons travailler ensemble.

Ce n’est pas votre corps qui a échoué.
C’est le système.

Depuis 5 ans, j’ai accompagné plus de 600 femmes dans leur projet de grossesse.
Et parmi elles, un motif revient chaque mois, sans exception :
FIV avec embryon parfait… test négatif.

Vous avez peut-être tout fait correctement.
Suivi les recommandations. Respecté les délais. Écouté les médecins.

Mais parfois, la médecine ne peut pas tout voir.
Non parce qu’elle se trompe. Mais parce qu’elle va vite, lit par spécialité, ou s’arrête à la norme, pas au terrain.

Ce n’est pas votre volonté qui est en cause.
C’est la méthode d’analyse qui a manqué de profondeur.

Fertilinat a été conçu pour relier ce que la médecine laisse parfois de côté.
Pas en opposition. En complément rigoureux et stratégique.
Vous n’avez pas besoin d’un soutien.
Vous avez besoin d’une direction qui relit votre dossier avec exigence.

On m’a dit que tout était parfait. Mais chaque mois, mon corps dit non, et personne ne sait pourquoi.”
Cliente en parcours FIV, reçue en mai 2025

Ce que vous vous demandez peut-être

→ Est-ce que ce type d’échec veut dire que je n’ai aucune chance ?
Pas du tout. Mais dans plus de 80 % des cas que je reçois après 2 à 3 FIV échouées,
je constate des incohérences sur la phase lutéale, la fenêtre d’implantation, ou le terrain inflammatoire.
Refaire sans relire, c’est souvent reproduire.

→ Est-ce qu’il faut forcément refaire une FIV ?
Pas toujours, mais c’est à décider avec votre gynécologue et votre équipe PMA.
Une tentative peut être pertinente, mais uniquement si elle est recalée sur votre cycle réel, pas sur un calendrier standard.

→ Et si mon médecin m’a dit que tout était normal ?
C’est souvent vrai dans son cadre.
Mais “normal” ne veut pas dire “optimisé”, ni “suffisant pour une implantation réussie”.
Je relis à partir du même dossier, avec un angle différent.

→ Fertilinat peut m’aider même après plusieurs FIV ?
Oui, à condition que vous soyez prête à poser une méthode systémique, rigoureuse et individuelle.
C’est ce que je fais : pas un soutien. Une stratégie.

➤ Vous vous reconnaissez dans ces questions ?
Remplir ce questionnaire confidentiel vous permettra de poser les bases d’une relecture stratégique.
Je le lis personnellement. Et je vous réponds si je pense pouvoir vous aider.


Sophie Rodriguez – Naturopathe spécialisée en fertilité et terrain hormonal à Lyon.
Depuis 5 ans, j’ai accompagné plus de 600 femmes dans leur projet de grossesse, souvent après plusieurs FIV ou fausses couches inexpliquées.
Mon approche : une lecture croisée du terrain (hormonal, thyroïdien, digestif, immunitaire), structurée autour de la réalité biologique du corps féminin.