« Je sais déjà tout sur le SOPK. »
C’est exactement ce que Sarah m’a dit la première fois. Trois ans qu’elle se lève chaque matin avec la même acné inflammatoire, des cycles irréguliers, une fatigue qui colle aux os. Trois ans qu’elle lit tout ce qu’elle peut, qu’elle enchaîne compléments, tisanes et « protocoles miracles ».
Elle savait tout sauf ce qui tient vraiment la route : un levier structuré, pas une plante trouvée sur un forum.
Le SOPK ? Oui, Google vous dira que c’est la résistance à l’insuline, l’hyperandrogénie, un désordre de la LH, des ovaires qui accumulent des follicules comme des perles.
Tout ça est vrai sur le papier.
Mais la réalité, c’est votre terrain.
Vos surrénales qui s’épuisent.
Votre SHBG qui chute.
Le foie qui peine à éliminer.
Votre ovulation qui joue à cache-cache.
Et surtout… votre plan qui n’existe pas.
Parce qu’improviser seule, c’est avoir un espoir.
Poser un système, c’est avoir un levier.
Vous vous demandez peut-être quel spécialiste consulter pour le SOPK ?
Ce choix est déterminant. Sans une expertise capable de décoder votre terrain unique, difficile de sortir du cercle vicieux. C’est précisément ce que je propose avec mon accompagnement Hormonat, dédié aux troubles hormonaux liés au SOPK : un suivi personnalisé, pas un protocole générique.
Si vous êtes encore là, c’est que vous savez déjà que lire ne suffit plus.
Rien de ce que vous trouverez sur Google ne reliera votre cycle à votre insuline, ne calmera votre inflammation silencieuse, ne recalibrera votre ratio androgènes/progestérone pour vous.
Et chaque cycle non optimisé aujourd’hui, c’est un cycle qui ne se récupère jamais.
On m’a dit que le SOPK…
On m’a dit que le SOPK…
Il suffisait de perdre un peu de poids.
Boire une tisane d’alchémille ou avaler de l’inositol relancerait tout.
Une seule consultation chez une naturopathe suffirait à « tout remettre en place ».
Le SOPK disparaît tout seul, les cycles chaotiques ne sont « pas si graves », il faudrait « laisser faire la nature ».
Sarah, elle, a tout essayé.
Elle a lu, recopié des protocoles, vu plusieurs spécialistes, testé des compléments ayurvédiques aux noms imprononçables.
Elle pensait que ses ovaires polykystiques allaient disparaître dans sa tisane.
Pourtant, rien n’a changé.
Le poids stagne. L’acné empire. Les cycles sont encore plus irréguliers.
Manquer de volonté, de discipline ? C’est ce qu’elle croyait.
Mais ce que Google ne vous dira jamais, c’est qu’un SOPK ne se supprime pas.
Il se comprend, il se tient, il se structure.
Le vrai problème ? Ce ne sont pas vos ovaires.
Ni votre motivation.
C’est votre plan.
Un plan qui relie insuline, SHBG, androgènes, inflammation et foie.
Ce plan, vous ne le trouverez ni sur un forum, ni dans un traitement naturel, ni dans une consultation sans suivi.
Sarah a compris qu’elle n’avait pas besoin d’un énième remède naturel.
Elle avait besoin d’un levier, pensé pour elle.
D’un système qui tient.
Le seul levier qui tient
Sarah pensait qu’elle n’était pas assez motivée.
Qu’elle devait encore perdre 5 kilos, limiter ses glucides, refaire une prise de sang.
Ce qu’elle ignorait, c’est que son insuline, ses androgènes, sa SHBG et son inflammation silencieuse jouaient à la roulette russe et qu’aucun complément à 30 euros ne remet ça en place.
Le SOPK, un système hormonal en boucle
Un SOPK, ce n’est jamais une hormone isolée qui s’amuse toute seule.
C’est un système hormonal qui se parle en boucle : insuline trop haute → androgènes qui flambent → SHBG qui s’effondre → ovulation aux abonnés absents → inflammation qui alourdit tout.
Tant que vous bricolez une seule pièce du puzzle, le reste vous pète à la figure.
Pourquoi bricoler une pièce du puzzle ne suffit pas
Et ça, aucune tisane, aucune cure de gattilier, aucun plan Pinterest ne le corrige.
Parce que le vrai levier, c’est de poser un système :
un cadre qui décrypte, qui tient, qui ajuste.
Un plan qui sait que vos follicules, vos surrénales, votre foie, votre cycle, tout ça ne se gère pas chacun dans son coin.
Ce n’est pas un “traitement naturel” collé à la va-vite sur un SOPK qui traîne depuis dix ans.
Ce n’est pas un protocole magique « vu sur Google ».
C’est une direction.
Une stratégie.
Un suivi qui tient la distance, parce qu’un cycle ne se “calme” pas en trois semaines.
« Je croyais que c’était mon corps qui ne voulait pas.
En fait, c’était juste qu’il n’avait jamais eu le cadre pour tenir. »
Sarah
Chaque cycle que vous laissez filer à improviser, c’est un cycle qu’on ne récupère jamais.
Vous pouvez continuer à chercher le meilleur complément pour le SOPK, le meilleur naturopathe, la tisane miracle.
Ou vous pouvez décider de poser un système qui tient vraiment.
C’est exactement ce que fait Hormonat :
ce n’est pas un PDF générique qu’on feuillette sans rien appliquer,
avec sa liste de plantes type « myo-inositol + gattilier » jetée sur un SOPK comme on jette un pansement.
C’est un accompagnement sur-mesure, pensé pour tenir toute la complexité de votre terrain :
insuline, androgènes, SHBG, thyroïde, syndrome métabolique, carences silencieuses, inflammation de bas grade rien n’est laissé au hasard.
Ici, rien n’est plaqué.
Chaque étape est personnalisée, cycle après cycle, jusqu’à ce que votre système retrouve un équilibre durable
parce qu’aucun guide PDF ne prendra jamais le temps de vous comprendre de fond en comble.
Et c’est pour ça que, dans 80 % des cas, ça ne marche jamais.

Pourquoi un accompagnement sur-mesure est indispensable
Le SOPK est une pathologie complexe, où chaque femme présente un profil unique, mêlant hormones, métabolisme, inflammation et parfois troubles associés.
Les solutions génériques sont insuffisantes, souvent décevantes, voire contre-productives.
C’est pour cela qu’un accompagnement personnalisé, qui s’appuie sur une analyse fine et un suivi régulier, est essentiel pour sortir du cercle vicieux et rétablir un équilibre durable.
Le terrain de Sarah — Cas réel
Sarah est arrivée avec un SOPK officiellement « léger ».
Un diagnostic posé trop vite, un bilan hormonal incomplet, trois solutions téléchargées sur Internet, deux naturopathes contactés.
Et pourtant, après 18 mois, ses cycles étaient toujours absents, ses cheveux tombaient par poignées, et son insuline restait « dans la norme » — soi-disant.
Dans son dossier, j’ai trouvé des analyses qui se contredisaient.
Une insuline à jeun normale, mais une courbe HOMA-IR qui explosait.
Une SHBG effondrée, jamais recroisée avec ses androgènes libres.
Une thyroïde présentée comme « OK », mais dont les anticorps, eux, étaient positifs sans jamais avoir été vérifiés.
Ce que j’ai fait différemment
J’ai repris chaque paramètre, un par un.
Fait refaire un bilan complet, au bon moment du cycle.
Recoupé ses symptômes réels — fatigue extrême, chute de cheveux, brouillard mental — avec ses marqueurs métaboliques.
On a découvert un terrain inflammatoire discret, une hypothyroïdie auto-immune passée sous les radars, et une résistance à l’insuline insidieuse qu’aucun protocole « copié-collé » n’aurait jamais révélé.
Pourquoi ça change tout
Sarah n’avait pas besoin d’une « petite plante régulatrice » posée là par automatisme.
Elle avait besoin de comprendre pourquoi son corps bloquait, pourquoi son foie saturait, pourquoi sa SHBG chutait à chaque cycle.
Tout ce qu’elle croyait « booster » à coups de compléments ne faisait qu’alimenter un cercle vicieux.
Un accompagnement sur-mesure, c’est ça :
- Un programme ajusté séance après séance.
- Une stratégie qui relie tout ce qui compte SOPK, thyroïde auto-immune, insuline, carences silencieuses sans jamais laisser une pièce du puzzle de côté.
Je pensais que j’étais la seule à galérer, que c’était normal de ne jamais avoir de règles régulières ni d’énergie.
Puis j’ai réalisé que personne ne m’avait jamais vraiment écoutée, ni pris le temps de comprendre ce qui clochait vraiment.
Sarah
Chaque histoire est unique, mais elle révèle combien un SOPK non décodé peut masquer des déséquilibres plus profonds. C’est pour cela que comprendre votre profil est indispensable.
Et maintenant ?
Chaque femme qui reste coincée entre « Je vais essayer » et « On verra bien » finit par perdre trois, six, douze cycles qu’on ne récupère jamais.
Un SOPK mal cadré ne reste jamais « juste un SOPK » : il finit toujours par déborder sur la thyroïde, l’inflammation, le métabolisme.
Si vous n’avez plus envie de bricoler seule, Hormonat est là pour ça.
Pas pour ajouter un complément de plus — pour poser un cadre stratégique qui tient jusqu’au bout.
Et la première étape, c’est de prouver que vous êtes prête à reprendre la main, pas à piocher une solution par-dessus votre fatigue.
Cette fois, prenez une vraie décision. Avancez avec clarté et détermination.
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SOPK et fertilité : ce que vous devez savoir
Le SOPK est l’une des causes principales de difficulté à concevoir. Ses déséquilibres hormonaux perturbent l’ovulation, réduisent la qualité des ovocytes, et modifient la réceptivité de l’endomètre.
Pourtant, concevoir avec un SOPK n’est pas impossible, loin de là. La clé réside dans une prise en charge globale, qui ne se limite pas à stimuler l’ovulation mais agit sur votre terrain hormonal, métabolique et inflammatoire.
Chaque femme porte une histoire unique : cycles irréguliers, résistances invisibles, carences non détectées. Ce sont ces facteurs invisibles qui freinent souvent la conception bien plus que les simples symptômes visibles.
C’est pourquoi un accompagnement personnalisé, qui analyse précisément votre profil, est indispensable pour optimiser vos chances. Pour en savoir plus sur ce sujet, vous pouvez consulter mon article complet sur comment améliorer sa fertilité malgré un SOPK.
Un SOPK non cadré ne fait pas qu’entraver la fertilité, il déséquilibre aussi votre santé globale. Mais un système structuré, pensé pour vous, peut inverser la tendance durablement.
Les 4 visages du SOPK et comment agir selon votre profil

Voici les quatre catégories souvent évoquées, bien qu’elles ne soient pas validées scientifiquement comme un cadre strict :
1. SOPK lié à la résistance à l’insuline
La résistance à l’insuline est l’une des causes les plus courantes du SOPK. Elle entraîne une surproduction d’insuline (hyperinsulinisme), ce qui stimule excessivement les ovaires à produire des androgènes. Cela se manifeste souvent par :
- Prise de poids, surtout au niveau de l’abdomen.
- Difficulté à perdre du poids malgré une alimentation équilibrée.
- Risque accru de diabète de type 2.
2. SOPK post-pilule contraceptive
ment ceux contenant de la cyprotérone (Diane, Yaz, Yasmin), peut provoquer une élévation temporaire des androgènes. Ce type de SOPK est :
- Réversible : Les cycles menstruels reviennent généralement à la normale après quelques mois.
- Fréquent : Il concerne souvent les femmes qui n’ont pas de résistance à l’insuline.
Illustration : Imaginez vos ovaires comme un paquebot qui a été mis en veille pendant des années. Lorsqu’il est relancé, il lui faut un temps pour retrouver sa vitesse de croisière. De la même manière, votre système hormonal peut mettre plusieurs mois à se stabiliser naturellement.
3. SOPK lié à l’inflammation
Un état inflammatoire chronique peut aggraver le SOPK en perturbant la sensibilité à l’insuline et en stimulant les ovaires à produire des androgènes. Ce type se manifeste souvent par :
- Une fatigue persistante.
- Des troubles digestifs, liés à un déséquilibre du microbiote intestinal.
- Une peau inflammatoire (rougeurs, acné persistante).
4. SOPK lié à la fatigue surrénalienne
Un stress chronique peut sursolliciter les glandes surrénales, entraînant une surproduction de cortisol et parfois de DHEA (androgène surrénalien). Les symptômes incluent :
- Épuisement profond, même après une nuit complète de sommeil.
- Brouillard mental et difficulté de concentration.
- Anxiété ou irritabilité accrue.
Un syndrome, plusieurs visages : pourquoi un accompagnement sur-mesure est indispensable
Le SOPK ne se résume pas à une simple liste de symptômes ou à un protocole unique à appliquer. Chaque femme porte un terrain qui lui est propre, mêlant des déséquilibres hormonaux, métaboliques, inflammatoires, et bien plus encore.
Comprendre ces profils spécifiques — loin des recettes génériques — est la première étape pour envisager un accompagnement réellement efficace.
Le tableau ci-dessous illustre cette diversité, en mettant en lumière les nuances et la complexité de chaque type de SOPK, et surtout pourquoi seul un suivi personnalisé, ajusté en fonction du terrain, peut faire la différence.
Type de SOPK | Symptômes dominants | Complexités sous-jacentes | Enjeux d’un accompagnement sur-mesure |
---|---|---|---|
Résistance à l’insuline |
Prise de poids abdominale, fatigue persistante, cycles irréguliers |
Hyperinsulinisme chronique, perturbations inflammatoires, variations individuelles du métabolisme |
Éviter les protocoles standardisés ; adapter la prise en charge au profil métabolique précis ; suivre et ajuster les interventions sur plusieurs cycles |
Post-pilule contraceptive |
Cycles irréguliers temporaires, fluctuations hormonales, symptômes parfois confondus avec SOPK classique |
Déséquilibre hormonal transitoire, impact du sevrage contraceptif, susceptibilité individuelle variable |
Prise en compte du contexte hormonal global ; surveillance attentive avant toute intervention lourde ; soutien du rééquilibrage naturel progressif |
SOPK inflammatoire |
Fatigue chronique, troubles digestifs, acné et rougeurs persistantes |
Inflammation systémique ou locale, déséquilibres microbiotiques, impact du stress oxydatif |
Évaluation approfondie du terrain inflammatoire ; stratégies personnalisées de modulation immunitaire ; gestion holistique du stress et des facteurs environnementaux |
SOPK lié à la fatigue surrénalienne |
Épuisement profond, troubles cognitifs (brouillard mental), irrégularités menstruelles |
Dysrégulation du cortisol et du système surrénalien, interactions complexes avec le système hormonal, impact psychologique et émotionnel |
Approche intégrative incluant gestion du stress ; travail ciblé sur l’équilibre neuroendocrinien ; accompagnement patient sur la durée pour stabilisation |
Ovaires polykystiques ou syndrome des ovaires polykystiques : quelle différence ?
C’est une confusion très courante : entendre « ovaires polykystiques » et penser automatiquement « SOPK ». Pourtant, ce n’est pas la même chose.
Les ovaires polykystiques désignent simplement une particularité visible à l’échographie : des ovaires avec plein de petits follicules immatures, comme des petits boutons qui n’ont pas encore mûri. Ça peut faire peur, mais souvent, c’est sans conséquence. Beaucoup de femmes ont ça sans avoir le moindre symptôme ni problème hormonal.
À l’inverse, le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est un vrai trouble hormonal et métabolique. Ce n’est pas juste une image sur un écran, c’est un ensemble de symptômes qui impactent la santé globale, la régularité des cycles, la fertilité, et parfois le poids ou la peau.
Pour faire simple :
- Ovaires polykystiques = une particularité anatomique souvent bénigne, souvent silencieuse
- SOPK = un déséquilibre hormonal qui se manifeste avec des signes concrets (cycles irréguliers, acné, fatigue, etc.)
C’est important de bien faire la différence, parce que le suivi, l’accompagnement et les solutions ne seront pas les mêmes. Et c’est exactement là où je peux vous aider, avec une approche sur-mesure adaptée à votre situation, pas un protocole standard.
Cycles irréguliers, résistance à l’insuline, hirsutisme, acné : les signes révélateurs du SOPK
Le Syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) se manifeste par un éventail de symptômes qui varient d’une femme à l’autre. Ces troubles, souvent présents dès la puberté, peuvent s’aggraver avec le temps si aucun accompagnement adapté n’est mis en place.
Des cycles menstruels perturbés, mais pas que
Parmi les symptômes les plus fréquents, on retrouve des cycles longs, irréguliers, voire une absence d’ovulation qui peut entraîner une aménorrhée — c’est-à-dire l’absence totale de règles. Ce déséquilibre est le reflet d’un trouble hormonal profond qui empêche la maturation normale de l’ovocyte.
Vous vous demandez peut-être comment faire revenir ses règles avec un SOPK ? Cette question est légitime et souvent posée : il ne s’agit pas simplement de « patienter », mais de comprendre que cela passe par un travail sur votre terrain métabolique, hormonal et émotionnel. Pour en savoir plus, découvrez mon article complet sur retrouver ses règles avec un SOPK.
Les conséquences ?
- Une fertilité réduite, rendant la conception plus difficile.
- Un déséquilibre hormonal marqué, car l’absence d’ovulation perturbe la production naturelle de progestérone.
L’hyperandrogénie : l’excès d’androgènes en cause
Chez de nombreuses femmes atteintes de SOPK, on observe une surproduction d’androgènes comme la testostérone, responsable d’une série de symptômes visibles et parfois invalidants.
Voici les plus courants :
- Hirsutisme : une pilosité excessive, notamment sur le visage, le dos ou le ventre, qui touche environ 70 % des femmes avec SOPK.
- Acné hormonale persistante, souvent localisée sur le bas du visage, qui perdure bien après l’adolescence.
- Alopécie androgénique : perte de cheveux au sommet du crâne ou au niveau des golfes frontaux.
- Peau grasse et sujette aux inflammations, favorisant l’apparition de points noirs.
Vous vous demandez parfois quel est le traitement naturel pour soulager les symptômes du SOPK ? Sachez qu’il n’existe pas de solution miracle universelle. Chaque femme doit bénéficier d’une approche personnalisée, adaptée à sa situation unique.
Résistance à l’insuline et cercle vicieux métabolique
La résistance à l’insuline, présente chez une grande majorité de femmes avec SOPK, est un facteur clé qui alimente un cercle vicieux hormonal et métabolique. Ce dysfonctionnement empêche les cellules de répondre correctement à l’insuline, une hormone centrale pour la régulation du glucose sanguin.
Conséquences fréquentes :
- Prise de poids abdominale, souvent tenace malgré un mode de vie sain.
- Difficulté à perdre du poids, même avec une alimentation équilibrée et une activité physique régulière. Vous vous demandez comment perdre du poids avec un SOPK ? Mon article dédié perdre du poids avec un SOPK répond précisément à cette question, sans promesses vaines ni recettes toutes faites.
- Risque accru de syndrome métabolique, comprenant hypertension, diabète de type 2 et anomalies lipidiques.
Le rôle central de la SHBG et du foie
La SHBG (Sex Hormone-Binding Globulin) est une protéine produite par le foie qui contrôle la disponibilité des hormones sexuelles, en particulier la testostérone.
Quand l’insuline est trop élevée, le foie réduit la production de SHBG. Résultat : la testostérone libre augmente, intensifiant les symptômes d’hyperandrogénie comme l’acné ou l’hirsutisme.
Cette baisse de SHBG aggrave aussi les déséquilibres métaboliques et hormonaux, compliquant la situation.
Toutes les femmes ne sont pas égales face au SOPK
Heureusement, le SOPK ne se manifeste pas de la même façon pour toutes. Certaines femmes ne présentent pas de syndrome métabolique ni de résistance à l’insuline, mais un excès d’androgènes localisé avec des symptômes plus légers.
Comprendre ces symptômes est la première étape pour agir efficacement
Le SOPK est une pathologie complexe, aux multiples facettes. Les symptômes — cycles irréguliers, résistance à l’insuline, acné hormonale, hirsutisme — doivent être analysés en profondeur, car leur origine peut varier d’une femme à l’autre.
En tant que naturopathe spécialisée, je vous accompagne dans une approche sur-mesure, qui vise à :
- Identifier les causes profondes de vos troubles
- Mettre en place une stratégie personnalisée
- Agir efficacement sur le cercle vicieux hormonal et métabolique
- Améliorer votre qualité de vie durablement
Prendre le contrôle de votre SOPK, aujourd’hui
Le Syndrome des ovaires polykystiques est une pathologie aux multiples visages, souvent mal comprise, et trop souvent réduite à quelques solutions toutes faites. Pourtant, chaque femme porte un terrain unique, complexe, où s’entremêlent hormones, métabolisme, inflammation et facteurs émotionnels.
Comprendre cette complexité est la première étape pour sortir du cercle vicieux des échecs répétés, et surtout pour poser un cadre adapté, capable de s’ajuster à vos besoins réels.
La complexité du SOPK et ses limites face aux solutions génériques
Le SOPK est loin d’être une pathologie simple à résoudre par des solutions toutes faites. Chaque femme porte un terrain unique, complexe, où hormones, métabolisme, inflammation et facteurs émotionnels s’entremêlent. C’est cette complexité qui explique pourquoi les protocoles génériques — souvent réduits à des compléments ou des plantes — montrent leurs limites et laissent tant de femmes démunies.
Pourquoi un système structurant est indispensable
Poser un véritable système structurant, personnalisé et évolutif, c’est la clé pour reprendre la main sur votre santé hormonale, votre cycle, votre énergie, et vos projets de vie. Ce n’est pas un simple coup de baguette magique, mais un engagement sur le long terme avec un accompagnement expert qui écoute, analyse et ajuste.
Si vous êtes prête à sortir de l’improvisation, à comprendre votre corps en profondeur, et à poser un cadre qui tient, alors mon programme Hormonat est conçu pour vous accompagner, cycle après cycle, vers un équilibre durable.
N’attendez plus. Prenez la décision qui peut tout changer aujourd’hui.
Le Syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est un trouble hormonal complexe qui touche environ 10 % des femmes en âge de procréer. Ses manifestations varient largement d’une femme à l’autre, impliquant souvent une résistance à l’insuline, un excès d’androgènes, une inflammation chronique, et des déséquilibres neuroendocriniens. Les solutions génériques, souvent limitées à des compléments ou traitements standardisés, ne suffisent pas à restaurer un équilibre durable.
Un accompagnement sur-mesure, basé sur une analyse fine du terrain individuel, une compréhension globale des interactions hormonales et métaboliques, ainsi qu’un suivi personnalisé dans la durée, est indispensable. Ce type d’approche permet d’éviter les cycles perdus, d’agir efficacement sur les symptômes et de préparer un terrain fertile à la santé globale.
L’article met en lumière les quatre types courants de SOPK, leurs complexités spécifiques, et l’importance de poser un système structurant plutôt que de s’en remettre à des solutions ponctuelles. L’exemple d’un cas réel illustre l’impact d’un suivi approfondi et personnalisé.
Cet article a été rédigé par Sophie, naturopathe spécialisée en fertilité, troubles hormonaux féminins et accompagnatrice experte du SOPK à Lyon.
Les données scientifiques derrière le SOPK et ses mécanismes
Le Syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) touche environ 10 % des femmes en âge de procréer, ce qui en fait la cause la plus fréquente d’infertilité liée à un trouble hormonal [1].
Ce syndrome complexe résulte d’une dysrégulation de l’axe hypothalamo-hypophysaire-ovarien, avec une sécrétion excessive d’hormone lutéinisante (LH) et une surproduction d’androgènes.
L’insulino-résistance, présente chez 50 à 70 % des femmes atteintes, est un facteur clé aggravant. Elle stimule la production d’androgènes et perturbe l’ovulation, indépendamment du poids corporel [2].
Une inflammation chronique de bas grade participe aussi à la perturbation hormonale et métabolique, souvent associée à un déséquilibre du microbiote intestinal et à un stress oxydatif accru [3].
La thyroïdite auto-immune est un facteur sous-estimé : environ 20 % des femmes avec SOPK présentent des anticorps anti-thyroïdiens positifs, altérant la fonction thyroïdienne et compliquant la prise en charge [4].
Enfin, la SHBG (Sex Hormone Binding Globulin), protéine qui limite la testostérone libre active, est souvent abaissée, amplifiant les symptômes d’hyperandrogénie comme l’acné ou l’hirsutisme [5].
Sources & données scientifiques
Définition et signification de la morphologie des ovaires polykystiques
[1] Rotterdam ESHRE/ASRM-Sponsored PCOS Consensus Workshop Group, 2003 — Revised 2003 consensus on diagnostic criteria and long-term health risks related to PCOS
https://doi.org/10.1016/j.fertnstert.2003.10.004
[2] Dunaif A. et al., 1989 — Profound peripheral insulin resistance, independent of obesity, in polycystic ovary syndrome
https://diabetes.diabetesjournals.org/content/38/9/1165
[3] Gonzalez F. et al., 2012 — Inflammation in Polycystic Ovary Syndrome
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23153784/
[4] Janssen OE. et al., 2004 — High prevalence of autoimmune thyroiditis in patients with polycystic ovary syndrome
https://eje.bioscientifica.com/view/journals/eje/150/3/363.xml
[5] Valkenburg O. et al., 1998 — Sex hormone-binding globulin in polycystic ovary syndrome
https://academic.oup.com/jcem/article/83/7/2454/2664914