AMP : les explications pour tout comprendre

Parcours PMA symbolisé par une image de fécondation

Concrètement, à quoi vous attendre quand vous vous lancez dans un programme d’aide médicale à la procréation (AMP ou PMA, en forme abrégée) ? Entre les termes gynécologiques et les différentes techniques de fécondation, il n’est effectivement pas toujours facile de s’y retrouver. Pourtant, comprendre toutes ces notions ne peut que vous aider à mieux évaluer les implications des différentes thérapies que votre gynécologue va vous proposer pour lutter contre l’infertilité et concevoir un enfant. Vous serez aussi plus en mesure de poser les bonnes questions, tout de suite, à l’équipe médicale et de faire les bons choix pour concrétiser votre désir de grossesse. C’est ce qui m’a inspirée à vous partager cet article sur le parcours PMA. Vous y trouverez toutes les explications dont vous pouvez avoir besoin pour y voir plus clair et mieux vivre votre protocole d’AMP, en attendant de réaliser votre rêve d’avoir un bébé.

01 – Explication des principales étapes du parcours PMA 

Un parcours PMA se définit dans les grandes lignes par 3 grandes phases.

La phase préparatoire d’exploration de la cause de l’infertilité : cette phase préparatoire est jalonnée par des bilans médicaux et par plusieurs consultations, avec votre gynécologue et avec l’équipe clinicobiologique (voir section 02). Tous ces examens vont permettre d’établir le diagnostic de l’infertilité. Le traitement d’AMP, pour vous aider à concevoir un enfant, pourra alors être mis en place. 

La période effective du traitement de PMA : la deuxième phase correspond à l’implémentation effective du protocole d’aide à la procréation que vous avez choisi précédemment, avec votre équipe médicale. Durant cette période, vous serez suivie minutieusement par ces cliniciens pluridisciplinaires. Ils vont faire le maximum avec leur arsenal thérapeutique (sections 03 et 04) pour vous aider à tomber enceinte. 

La phase post traitement : la phase finale d’une tentative de PMA se caractérise par une période d’attente du test de grossesse. Vous gagnerez à apprendre à la gérer, pour votre confort émotionnel (voir section 05). Une fois le résultat confirmé, s’ouvre alors un nouveau cycle de prise en charge thérapeutique. L’équipe pluridisciplinaire saura vous orienter vers un obstétricien pour le suivi de la grossesse. Alternativement, elle vous conseillera la thérapie la plus adaptée pour une nouvelle tentative, le cas échéant. 

Maintenant que le déroulement général d’un parcours PMA est clarifié, décryptons-en donc, toutes les étapes, plus en détail. Tout commence justement avec l’établissement du diagnostic…

02 – Diagnostic de l’infertilité et demande d’une assistance  médicale à la procréation (dossier AMP)

a / Consultation gynécologique : comment se passe le premier rendez-vous ?

L’objectif de la première consultation gynécologique est de déterminer les causes de l’infertilité du couple. Les deux partenaires vont être soumis à différents tests diagnostiques et examens médicaux, ainsi qu’à un ensemble de questions afin d’évaluer leurs antécédents médicaux, chirurgicaux et familiaux.

Chez une femme, le bilan de fertilité vise à évaluer la réserve ovarienne et à identifier une éventuelle cause hormonale qui pourrait expliquer un dérèglement ovulatoire. Pour cela, le gynécologue-obstétricien dispose :

  • du dosage des hormones de reproduction (FSH, LH. Oestradiol, Hormone Hormone anti-mullerienne HAM ou AMH, TSH, PRL) 
  • de la technique du comptage folliculaire antral (CFA, qui est une échographie pelvienne). 

La recherche d’éventuelles pathologies de l’appareil reproductif féminin (polypes, endométriose, fibromes, blocage des trompes, etc.) peut aussi être conduite grâce à une hystérosalpingographie (examen radiographique de l’utérus et des trompes de Fallope).

Chez un homme, la démarche exploratoire de l’infertilité va s’attacher à analyser la quantité et la qualité des gamètes. Pour cela, le sperme recueilli au laboratoire PMA est soumis à deux tests diagnostiques : 

  • un spermogramme (analyse quantitative, mobilité, viabilité des gamètes, viscosité de l’éjaculat, etc.)
  • un spermocytogramme (analyse morphologique des spermatozoïdes). 

Au-delà des qualités spermatiques, une infertilité masculine peut, parfois, aussi être causée par d’éventuelles contaminations bactériennes. La spermoculture permet de les diagnostiquer. Un traitement antibiotique serait alors prescrit à votre conjoint ou partenaire, pour aider votre couple à enfanter.

À savoir.
Dans 15 % des cas environ, la cause de l’infertilité reste inexpliquée (infertilité idiopathique). Cela ne doit pas vous inquiéter, vous aurez également droit à la PMA si c’est le protocole thérapeutique le plus adapté.

Finalement, votre gynécologue vous communiquera les résultats de tous ces examens médicaux et la cause possible de l’infertilité, lors de votre prochaine consultation. Il vous proposera aussi le parcours PMA, si c’est la prise en charge thérapeutique la plus adaptée. Dans ce cas, il présentera votre dossier à l’équipe pluridisciplinaire pour en discuter.

b / La réunion de concertation pluridisciplinaire (RCP)

La réunion de concertation pluridisciplinaire réunit toute l’équipe clinicobiologique qui va vous suivre durant tout votre parcours PMA. Les médecins, biologistes et le personnel soignant, qui est impliqué dans le protocole, vont discuter de votre prise en charge thérapeutique. À l’issue de cette concertation, l’ensemble de l’équipe valide la technique de procréation médicalement assistée qui a été retenue. 

À ce stade, vous allez recevoir de nombreuses informations sur la procréation médicalement assistée, notamment sur le protocole qui a été choisi (ex. : insémination artificielle, FIV ou ICSI, etc.). Votre gynécologue-obstétricien ou l’équipe médicale vous exposera aussi de manière claire et détaillée vos chances de réussite, c’est-à-dire d’avoir un test de grossesse positif. Vous serez alors prête à constituer votre dossier de demande de PMA…

c / La création du dossier d’AMP

La PMA est un protocole thérapeutique qui est légalement très encadré. Vous allez donc devoir constituer un dossier administratif de demande d’AMP, avec l’aide de votre équipe pluridisciplinaire. Pour cela, vous aurez à rassembler une liste (non exhaustive) de documents administratifs tels que : 

  • votre pièce d’identité ;
  • votre acte de naissance ;
  • la procédure de demande de remboursement des actes médicaux.

La PMA est effectivement prise en charge à 100 % par la sécurité sociale pour toutes les femmes (jusqu’à 43 ans), qui souhaitent obtenir une grossesse. Elle rembourse :

  • 6 inséminations (à raison d’une seule insémination artificielle par cycle) ;
  • 4 tentatives de fécondation in vitro (FIV ou ICSI).

C’est également au moment de la constitution de votre dossier que vous allez signer les consentements à la PMA. Par ailleurs, vous devrez aussi valider la technique d’aide à la procréation choisie et exprimer votre préférence quant à la congélation des potentiels embryons. Une fois le dossier constitué et envoyé, vous devrez encore patienter un mois (délai légal de réflexion). Toutes ces formalités étant accomplies, vous allez enfin pouvoir entrer dans votre parcours PMA.

03 – Stimulation ovarienne : l’étape préalable au traitement qui vise à augmenter vos chances de tomber enceinte 

a / La stimulation ovarienne pour booster la fertilité féminine

Les techniques d’aide à la procréation reposent généralement sur une étape préalable de stimulation ovarienne. La patiente s’administre un traitement hormonal, obtenu sur prescription médicale, dont l’objectif est de favoriser le développement de multiples follicules (qui contiennent les ovocytes ou « ovules »), au cours du cycle menstruel. 

Habituellement, les ovaires ne mâturent qu’un seul ovocyte par cycle. En multipliant le nombre de gamètes femelles produits, le protocole permet donc d’augmenter significativement la probabilité d’une fécondation, ce qui optimise vos chances de tomber enceinte

Il est important de souligner que les prises d’hormones doivent être minutieusement cadencées pour optimiser au mieux votre fertilité. L’équipe soignante vous indiquera les horaires auxquelles les réaliser. Soyez donc très rigoureuse pour mettre toutes les chances de votre côté de concrétiser votre désir de grossesse. 

Conseil pratique.
Assurez-vous de bien comprendre comment vous administrez les injections d’hormones qui vous seront prescrites, pour éviter de vous trouver dépourvue au moment de réaliser ce geste infirmier. Veillez aussi, autant que possible, à vous organiser pour être chez vous ou dans un endroit confortable pour effectuer ces piqûres, dans les meilleures conditions possibles.

b / Le déclenchement de l’ovulation

Le développement des follicules est suivi avec précision par échographie et dosage hormonal (œstradiol et LH). Le médecin prescrit le déclenchement de l’ovulation lorsque ceux-ci sont mâtures, qui est réalisé à l’aide de l’injection d’une hormone (hCG recombinante) par voie sous cutanée. L’induction de l’ovulation permet à l’équipe médicale de savoir exactement à quelle heure ils doivent procéder à l’insémination ou à la ponction des ovocytes (dans le cas d’une fécondation in vitro).

Conseil pratique.
N’oubliez pas de prévoir un rendez-vous pour le recueil des spermatozoïdes le matin de l’insémination ou de la ponction des follicules, avec votre mari ou partenaire. 

04 – Les différentes techniques de PMA (ou AMP) : éclairage sur les méthodes de fécondation disponibles en France

a / Le protocole d’insémination intra-utérine (IIU) : la méthode de procréation médicalement assistée de première intention

L’insémination intra-utérine (IIU) ou plus communément appelée insémination artificielle est la méthode de procréation assistée de première intention. Si le profil de fertilité de votre couple s’y prête, elle vous sera donc proposée avant toute autre technique de procréation médicalement assistée. 

Cette technique, qui est la plus ancienne, est aussi la plus naturelle. En effet, tout se passe « in vivo », c’est-à-dire dans le corps de la femme. Après le déclenchement hormonal de l’ovulation, le gynécologue va placer les spermatozoïdes directement dans l’utérus de la patiente. Comme ces gamètes sont naturellement mobiles, ils vont remonter vers les trompes, où un spermatozoïde va pouvoir féconder un ovocyte.

L’IUU est un geste médical assez simple et indolore, qui ne requiert donc pas d’hospitalisation. En pratique, tout se passe un peu comme un simple examen gynécologique. Le médecin utilise un fin cathéter souple relié à une seringue contenant le sperme, pour introduire les spermatozoïdes dans la cavité utérine. Le sperme aura été recueilli au laboratoire de PMA et préparé pour la fécondation, le matin même. S’il avait préalablement été congelé (par exemple, en cas de don de gamètes), les paillettes sont alors fraîchement décongelées pour être utilisées le jour de l’insémination.

Pour que cette technique de procréation assistée puisse fonctionner, il est évidemment nécessaire que les gamètes mâles soient suffisamment mobiles. Sans cela, la fécondation ne peut pas avoir lieu. Si des anomalies spermatiques étaient l’une des causes de l’infertilité de votre couple, alors il est probable que l’équipe clinicobiologique vous oriente vers l’une des autres techniques suivantes :

b / La fécondation in vitro : parcours FIV ou ICSI


La fécondation in vitro (FIV) et sa variante ICSI (Intra Cytoplasmic Sperm Injection ou en français micro-injection intracytoplasmique) se déroule en dehors du corps de la femme, comme son nom l’indique. En fait, tout se déroule en trois temps. Les follicules sont d’abord prélevés sur la patiente : c’est la ponction des ovocytes. Ensuite, la fécondation est réalisée in vitro, donc au laboratoire, par les biologistes du développement de votre équipe médicale. Enfin, les cellules embryonnaires sont ré-implantées dans l’utérus de la femme pour poursuivre leur développement.

La différence entre la FIV conventionnelle et l’ICSI réside dans la façon dont l’ovocyte est fécondé. Dans le cas du protocole conventionnel, les spermatozoïdes sont juste mis au contact des gamètes femelles : la fécondation s’effectue donc spontanément. Au contraire, dans le cas de l’ICSI, un spermatozoïde est micro-injecté dans le cytoplasme de l’ovocyte pour augmenter la probabilité de fécondation. Les zygotes (fusion des gamètes) sont ensuite incubés de la même manière, pendant quelques jours à 37 °C, pour permettre le développement embryonnaire.
Finalement, ces cellules embryonnaires (ou blastocyste) sont déposées dans l’utérus de la femme pour poursuivre leur développement vers la formation d’un fœtus. Comme il y a généralement plusieurs embryons issus de la FIV, ceux qui n’ont pas été implantés sont cryoconservés (c’est-à-dire congelés). Ainsi, la patiente pourra recevoir d’autres transferts d’embryon congelé (TEC) si l’implantation du blastocyste frais de la première tentative se révélait infructueuse.

Important.
La ponction des ovocytes est un geste médical qui nécessite une anesthésie générale d’une durée d’environ 15 min. Le gynécologue prélève du liquide folliculaire, qui contient des ovules, par voie transvaginale sous contrôle échographique. La patiente peut quitter l’hôpital dans l’après-midi mais en s’assurant d’être accompagnée (conjoint / partenaire, proche, etc.).

c / Le recours au don de gamètes et l’accueil d’embryon pour avoir un enfant

Dans certaines situations (ex. : qualité spermatique inadéquate, absence de réponse hormonale de la femme, etc.), il peut se révéler nécessaire de recourir à des dons de gamètes. La FIV est une technique de procréation qui répond bien à ces besoins. Comme nous l’avons vu plus haut, elle consiste à féconder un « ovule » avec un gamète mâle. Elle peut donc facilement être réalisée avec des dons d’ovocytes ou de spermatozoïdes, selon les configurations suivantes :

  • avec vos ovocytes et les spermatozoïdes d’un donneur
  • avec les ovocytes d’une donneuse et les spermatozoïdes de votre partenaire
  • avec les ovocytes d’une donneuse et les spermatozoïdes d’un donneur.

Ce dernier cas de figure me conduit à vous parler de l’accueil d’embryon, qui peut parfois être suggéré aux couples doublement infertiles. Dans ce cas, les cellules embryonnaires d’une précédente FIV sont légalement proposées à l’accueil par des personnes donneuses. Le gynécologue procède alors au transfert de cet embryon dans l’utérus de la patiente receveuse, selon  la même procédure que la dernière étape de la FIV, détaillée plus haut (section 04 – b). Arrive alors la phase la plus désirée et redoutée du parcours PMA, celle de l’attente du test de grossesse… 

05 – Test de grossesse : gérer au mieux l’attente du résultat et le désir d’avoir un enfant au plus vite…

a / La période de post-traitement

Après la fécondation, qu’elle ait eu lieu par insémination ou FIV, il y a une période d’attente. Une quinzaine de jours sont nécessaires avant de pouvoir réaliser un test de grossesse, pour permettre au blastocyste de se développer. Après la multitude de rendez-vous médicaux, de passages au laboratoire et de contacts avec l’équipe pluridisciplinaire, cette période risque de vous paraître calme…

Pourtant, vous allez être dans l’attente de savoir si l’implantation de l’embryon se déroule bien, si vous allez pouvoir porter ce petit bébé tant désiré, etc. Il est important de rester positive et optimiste pour accueillir cette grossesse le mieux possible. Sans radicalement changer votre mode de vie, prenez soin de vous et de votre alimentation pour mettre toutes les chances de votre côté de favoriser la nidation des cellules embryonnaires.

Plus que jamais, c’est le moment de vous entourer pour éviter de vous sentir seule et de laisser monter l’anxiété. Cela me conduit donc tout naturellement au prochain point de cet article…

b / Parcours PMA : en parler…

Il n’est pas toujours facile de parler de procréation médicalement assistée dans son entourage. L’infertilité est évidemment un sujet qui touche à l’intimité. Pourtant, un parcours PMA peut se révéler long et jalonné de hauts et de bas émotionnels. Dévoiler à vos proches que vous avez recours à une aide médicale peut vous décharger de questions ou de remarques embarrassantes voire blessantes, quant à vos difficultés à procréer.

Cela peut aussi aider votre entourage à mieux comprendre vos réactions, dans certaines circonstances de la vie (pourquoi êtes vous si fatiguée, pourquoi la vue d’une femme enceinte semble parfois vous troubler, etc.). De plus, vous serez sans doute soulagée de savoir que vous êtes entourée de quelques personnes de confiance, prêtes à vous écouter, durant les périodes les plus compliquées. La PMA s’apparente plus à une course de marathon qu’à un sprint. Alors, n’hésitez donc pas à vous créer un petit cocon qui saura vous épauler, tout au long de votre prise en charge thérapeutique (et au-delà).

Par ailleurs, il existe des forums et des groupes Facebook qui parlent d’aide à la procréation médicalement assistée. C’est parfois une bonne idée de partager son expérience et / ou de lire celle d’autres personnes qui rêvent aussi de devenir mamans. Pour cela, les témoignages de femmes qui sont passées par des FIV ou autres techniques de PMA et qui ont eu un enfant, peuvent se révéler très inspirants, dans les moments les plus délicats du protocole médical.

c / Test de grossesse et durée d’un parcours PMA

Une quinzaine de jours après l’insémination ou le transfert de l’embryon, vous pourrez réaliser un test de grossesse. Cela laisse suffisamment de temps au blastocyste pour se développer et à l’hormone hCG de s’exprimer pour donner un résultat d’analyse non ambigu. Votre gynécologue demandera néanmoins certainement un test de confirmation quelques jours plus tard.

Si la grossesse est confirmée : félicitations ! Le bout du tunnel est arrivé : vous êtes entrée en gestation et vous allez pouvoir porter ce fœtus. Votre rêve de pouvoir devenir mère est en bonne voie de se concrétiser.

Test de grossesse

Si la tentative de fécondation n’a pas pu fonctionner, essayez de garder votre sang froid et de bien vous entourer pour surmonter cette déception. Il est bien souvent nécessaire de procéder à plusieurs cycles de PMA pour tomber enceinte. L’équipe pluridisciplinaire vous conseillera peut-être de laisser passer un cycle menstruel  pour vous recharger physiquement et émotionnellement. Elle saura également vous conseiller sur la suite de la prise en charge : nouvelle tentative avec la même technique de procréation médicalement assistée, changement de méthode de fécondation, recours au don de gamètes, etc.

Quelle que soit l’issue du test de grossesse, prendre soin de votre alimentation et de votre style de vie ne peut que vous aider à atteindre vos objectifs : booster votre fertilité et vous donner toutes les chances d’amener votre grossesse à terme. Naturopathe certifiée, j’accompagne les femmes, avec des méthodes naturelles comme la nutrition, micronutrition ou encore la phytothérapie, pour les aider à réaliser leur rêve de devenir mère. N’hésitez donc pas à me contacter pour un conseil personnalisé autour des questions liées à la fertilité, à la grossesse et la périnatalité, qui sont mes spécialités 🙂 !


Bibliographie

Décret n° 2021-1243 du 28 septembre 2021 fixant les conditions d’organisation et de prise en charge des parcours d’assistance médicale à la procréation
JORF n°0227 du 29 septembre 2021 – Texte n° 26.

Predictive value of sperm motility before and after preparation for the pregnancy outcomes of intrauterine insemination.
Minea Jeong, et al.
Clinical and Experimental Reproductive Medicine 2021;48(3):255-261.

Intrauterine insemination performance characteristics and post-processing total motile sperm count in relation to live birth for couples with unexplained infertility in a randomised, multicentre clinical trial.
Hansen KR, et al.
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The effect of medical clowning on pregnancy rates after in vitro fertilization and embryo transfer
Friedler S, et al.
Fertil Steril. 2011 May;95(6):2127-30.

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2 décembre 2022

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